Génériques : pleins feux sur la sécurité

« Avec les génériques, y’a pas de hic ! »  Cette web-série qui a fait les beaux jours de la  toile l’an passé, se décline désormais au format DVD. Plus de 300 000 copies de la série sont ainsi disponibles gratuitement, auprès des pharmaciens et dans les cabinets médicaux. A la fois ludique et informatif, ce programme a un objectif bien précis : chasser les (nombreuses) idées reçues véhiculées sur les médicaments génériques.  

Dans un DVD unique, la série – conçue par Biogaran – couvre 6 thématiques bien identifiées. Sur un ton léger d’où l’humour n’est pas absent, elle explique la réalité des médicaments génériques. Il y est notamment question des règles de sécurité,  similaires à celles en vigueur pour les médicaments dits princeps.  En effet, l’Agence nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM) contrôle avec la même rigueur les médicaments génériques et les médicaments princeps. Pour cela, l’Agence réalise entre 600 et 800 inspections par an au cours desquelles plusieurs milliers de mesures sont effectués.

Princeps, génériques : des règles similaires

En 2009, l’ANSM a par ailleurs conduit une campagne portant notamment sur les conditions de fabrication des produits génériques. Elle a porté sur 44 établissements. « Les résultats de cette campagne ne font pas apparaître de différence entre la qualité de fabrication des princeps et celle des génériques », indiquent ainsi les responsables de l’Agence. Comme toute spécialité pharmaceutique, un générique est soumis à une procédure d’évaluation préalable à l’autorisation de mise sur le marché (AMM). L’objectif est de démontrer la sécurité du produit, et sa bioéquivalence avec le médicament princeps.

« Avec les génériques, y’a pas de hic », vous trouverez toutes ces informations relatives à la sécurité de ces médicaments. Pour découvrir le programme, vous pouvez également consulter le site qui lui est spécialement dédié : www.avec-les-generiques-y-a-pas-de-hic.fr .

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  Source : Communiqué de presse Biogaran, septembre 2012 - ANSM, consulté le 5 février 2013