Ce stress qui n’en finit pas…

08 septembre 2006

A New-York, le Dr Landrigan et son équipe, ont également constaté un doublement des naissances prématurées parmi les femmes enceintes présentes dans les tours jumelles, le 11 septembre 2001. Sans doute, “l’une des conséquences du stress post-traumatique“.

Depuis 5 ans, l’impact de ce syndrome de stress post-traumatique (STPT) a justement fait l’objet de plusieurs dizaines d’études scientifiques. En mai dernier, un travail réalisé auprès de 1 500 adultes “directement affectés par ces attentats” rappelait qu’une majorité d’entre eux, “vivaient toujours avec des sentiments de douleur et d’anxiété“. Quatre sur dix avouent avoir toujours besoin d’un soutien psychologique.

De son côté la Croix-Rouge américaine – qui a mis en place des programmes (payants) d’aide- ne cesse d’insister sur l’importance de se faire aider psychologiquement. Environ 60 000 personnes y auraient déjà eu recours. Plus de 10 000 sont encore dans ce cas. Ce n’est pas tout. Si l’on en croit un travail auprès de 2 700 jeunes scolarisés à New York le 11 septembre 2001, un adolescent sur dix admet noyer ses difficultés dans l’alcool !

  • Source : Environmental Health Perspectives, Vol. 112, N°6, Red Cross

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