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L’Agence nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) est très claire : l’utilisation des médicaments à base d’isotrétinoïne pour le traitement de l’acné en cours de grossesse est absolument contre indiquée. Et ce « en raison du risque très élevé de malformations graves (plus de 30%) chez les fœtus exposés telles que des anomalies du cerveau, du visage ou du cœur. »
Or malgré ce message (qui n’est pas nouveau), le nombre de grossesses exposées à cette molécule n’a pas diminué depuis 2010 (environ 175 grossesses chaque année). Par ailleurs, « des cas d’anxiété ou de changements de l’humeur, de dépression, ou d’aggravation d’une dépression incluant des tentatives de suicide, sont rapportés chez des patients traités », alerte l’ANSM.
L’Agence martèle en outre :
Source : ANSM, 21 octobre 2020
Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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