Boire oui, mais quoi ?

20 juillet 2006

Avec la chaleur, on se jette sur les boissons fraîches. Davantage par un réflexe conditionné que par nécessité. Car les boissons les plus froides ne sont ni les plus rafraîchissantes, ni les plus désaltérantes.

Les Touaregs qui boivent le thé brûlant, mais aussi les Sud-Américains, friands de café très chaud sur les hauts-plateaux ou de Maté dans la pampa, en font une démonstration évidente.

En fait nous répondons en buvant, à des besoins bien différents : d’abord, celui de reconstituer le “stock” d’eau de notre corps, partiellement éliminé par la transpiration qui permet à notre organisme de lutter contre l’élévation de notre température interne. Nous avons également besoin de boire pour éliminer les résidus que notre corps sécrète : par le filtre rénal bien sûr, mais aussi par la voie intestinale.

La boisson nous apporte cependant bien davantage qu’un peu de fraîcheur ou un effet de “ballast”… Par la transpiration et les urines, nous éliminons également des éléments essentiels au bon fonctionnement du corps, en particulier des sels minéraux. Le choix de votre boisson n’est donc pas anodin. Profitez de l’été pour boire davantage d’eau bien sûr, quitte à l’enrichir de thé – chaud ou glacé – d’infusions ou de jus de fruits… sans sucre ajouté !

  • Source : communiqués de presse Volterys, 14 juin, 6 juillet et 17 juillet 2006 ; interview du Pr Claude Huriet, 13 juillet 2006; Illustration Communiqués de Presse Volterys

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