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Pour les enfants victimes de violences à la maison, « l’école fait parfois office de refuge, et les personnels de l’Éducation nationale sont les premiers à transmettre des informations préoccupantes », explique Adrien Taquet, secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé.
Alors que seul un français sur quatre en moyenne déclare avoir le réflexe d’appeler le 119 – numéro d’Allô enfance en danger – face à une suspicion de violence sur mineur, la vigilance doit donc redoubler pendant le confinement.
Durant cette période, le 119 reste actif. Donc si vous êtes témoin, même auditif, même en cas de doute, n’hésitez pas à appeler.
Par ailleurs, des associations de protection de l’enfance restent à l’écoute pour vous fournir des conseils ou des orientations vers des services compétents. Citons par exemple :
A noter : En 2015, la France recensait 98 000 cas d’enfants en danger actuellement (19 000 sont de maltraitance et 79 000 se trouvant dans des situations à risque)
Source : Ministre des Solidarités et de la Santé
Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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