











Avant d’acheter des boules Quiès, d’envisager de faire chambre à part voire d’entamer une procédure de divorce pour incompatibilité de niveau sonore nocturne, pourquoi ne pas essayer de petits moyens… tout à fait dignes d’intérêt.
Vous ronflerez moins en dormant sur le ventre ou sur le côté. Evitez aussi les boissons alcoolisées, surtout le soir. Perdez vos kilos en trop, vous y gagnerez en silence et sur le plan de la santé en général. Dormez dans une chambre plutôt fraîche (18-19°C) et sachez enfin que les somnifères constituent rarement une bonne solution. Et quoi qu’il en soit, on ne doit jamais y recourir sans un avis médical.
Enfin comme on dit à la télé, « si les symptômes persistent, consultez votre médecin ». Car les ronflements peuvent aussi être dus à des arrêts transitoires de la respiration. Ces « apnées du sommeil », comme on les appelle, sont potentiellement dangereuses. Elles provoquent une fatigue intense et peuvent entraîner des périodes de somnolence dans la journée. Elles se soignent bien, mais encore faut-il s’en préoccuper…
Source : Neurology Journal, 23 septembre 2003
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