Les clés d’une sieste réparatrice

17 août 2015

Allongez-vous, relâchez l’ensemble de votre corps, fermez les yeux… Si le besoin est là, le sommeil viendra rapidement. Au réveil, quelques minutes plus tard, vous aurez fait le plein de tonus. Car oui, la sieste est réparatrice, à condition de bien s’y prendre.

Susceptible de compenser une dette de sommeil nocturne, la sieste du début d’après-midi répond aussi à un besoin physiologique, à une période de la journée où notre température corporelle tend à baisser. Ce somme est donc susceptible de redonner de la vitalité à notre organisme.

Prévoyez de bonnes conditions : un endroit calme, en semi-obscurité. Idéalement, une sieste doit durer entre 10 et 20 minutes. Si vous craignez aller au-delà, programmez une alarme. Elle doit en effet être brève pour au moins deux raisons :

  • vous éviter un réveil difficile et la période d’inertie qui peut suivre un sommeil profond ;
  • ne pas modifier la structure de votre sommeil et retarder ainsi l’endormissement, le soir venu.

Un conseil, une fois allongé, ne cherchez pas systématiquement à vous endormir mais à vous détendre. Le sommeil viendra naturellement, en cas de besoin. Et si vous êtes au bureau, vous pouvez aussi utiliser un masque de sommeil, dans un endroit de préférence isolé.

  • Source : Institut du sommeil et de la vigilance, site consulté le 12 août 2015

  • Ecrit par : David Picot – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

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