Lutte contre l’alcoolisme: l’entente cordiale avec les professionnels

02 février 2000

Les professionnels de la viticulture et du commerce vinicole ont rejoint les pouvoirs publics au sein d’un groupe de travail pour la recherche et l’amélioration des outils de prévention. Cette démarche très innovante devrait favoriser le dialogue et retirer tout ou partie de sa composante passionnelle au débat sur la prévention des dépendances. Alors qu’elle installait ce groupe de travail, le Secrétaire d’Etat à la Santé Dominique Gillot a noté que « pour la majorité de nos concitoyens, la consommation de vin s’inscrit dans la modération. » Rappelons en effet qu’à la différence du tabac, l’alcool ne devient toxique qu’à partir d’une certaine dose. Les spécialistes de la santé publique ne perdent jamais une occasion de rappeler qu’il n’existe pas de bonne cigarette mais qu’en revanche, un ou deux verres de vin chaque jour ne représentent pas de danger. Au contraire même, d’après certains travaux réalisés en Europe et outre-Atlantique. Il n’existe pas de bonne cigarette mais en revanche, un ou deux verres de vin chaque jour ne représentent pas de danger.

  • Source : La promotion en Suisse de la prophylaxie de la grippe chez les personnes courant un risque accru de complications en cas d’affection grippale, IMSP, CMU Case Postale, CH1211 Genève 4, 1998.

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