Mal au dos ? Venez en parler !

23 avril 2015

En ligne depuis le 8 avril, la nouvelle édition de la campagne « Ne lui tournez pas le dos » vient informer les jeunes au sujet d’une fragilité qui nous touche tous un jour ou l’autre : le mal de dos ! Twitter, Facebook, Youtube : les réseaux sociaux s’emparent de ce sujet. Le message à retenir ? Si vos douleurs dorsales vous gênent depuis 3 mois consultez un médecin sans attendre que votre vie personnelle, professionnelle ou étudiante ne soit impactée.  

Aujourd’hui 1 personne sur 5 vit avec un mal de dos depuis au moins trois mois, stade à partir duquel l’atteinte est dite chronique. « Dans ce cas, les répercussions sur le quotidien se font sentir. Pour autant, peu de patients se préoccupent vraiment de ce mal persistant, pensant à tort qu’il va disparaître comme il est apparu », précisent les organisateurs de la campagne « Ne lui tournez pas le dos ».

« Lorsque le mal de dos est mécanique, les douleurs passagères peuvent s’atténuer par elles-mêmes. Mais il peut aussi être d’origine inflammatoire, lié à des maladies comme les spondylarthrites. » Auquel cas un diagnostic précis est essentiel. Reste que certaines personnes « attendent jusqu’à 10 ans ou plus avant que leur mal de dos inflammatoire ne soit correctement identifié. »

La campagne en action !

Depuis le 8 avril, plus de 1 300 pharmacies se mobilisent en soumettant un questionnaire au grand public. Le principe, décrire ses symptômes pour permettre d’identifier un potentiel mal de dos. Auquel cas les professionnels d’officine délivreront des conseils à mettre en place dans votre quotidien.

Quelle posture privilégier lorsque vous faites les courses, du sport ou que vous êtes en voyage ? Comment ménager vos vertèbres ? Une brochure délivrant des conseils pratiques vous sera ensuite remise. Et au besoin, les pharmaciens mettront en place un suivi thérapeutique auprès de spécialistes des pathologies rhumatismales.

Ce même questionnaire est également téléchargeable sur le site www.neluitournezpasledos.fr.

Sur les réseaux sociaux :

  • Source : AbbVie, Association Française de Lutte Antirhumatismale (AFLAR), Association France Spondyloarthrites (AFS), mars 2015

  • Ecrit par : Laura Bourgault – Edité par : Dominique Salomon

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