Os recherchent vitamine D…

13 novembre 2007

Selon une enquête TNS Healthcare, les Françaises connaissent bien aujourd’hui, le rôle de la vitamine D. Elles sont près de 9 sur 10 à savoir qu’elle est nécessaire en quantités importantes et qu’elle permet de fixer le calcium sur les os, protégeant contre l’ostéoporose. Voilà pour la théorie. Car en pratique, trop de femmes présentent une carence.

Dans le monde, deux femmes ménopausées sur trois sont dans cette situation. Et c’est le cas pour plus de la moitié des Françaises. Or plus notre organisme stocke de la vitamine D, plus la capacité de l’intestin à absorber le calcium mais aussi le phosphore est importante. Ce processus est capital pour la minéralisation osseuse, et c’est une des clés permettant de se prémunir de l’ostéoporose.

Or cette maladie, caractérisée par une perte de densité osseuse qui entraîne une fragilité du squelette, frappe près d’une femme sur deux après 50 ans. Elle se soigne pourtant, et son évolution peut être arrêtée grâce à des traitements dont l’efficacité est amplement prouvée.

En plus du principe actif – il s’agit dans la majorité des cas d’un biphosphonate –on ajoute de la vitamine D. Aujourd’hui, il existe une forme qui permet de donner à la patiente en une seule prise, deux médicaments dont elle a un besoin essentiel. Il est en effet pratiquement impossible de satisfaire à nos besoins journaliers en vitamine D grâce à la seule alimentation. Et comme le soleil – qui en est la meilleure source naturelle – ne répond pas toujours présent, il est nécessaire de l’absorber sous forme de médicament.

  • Source : TNS Healthcare, enquête réalisée auprès de 852 femmes de plus de 50 ans (Allemagne, Canada, Espagne, France, Italie) – Juin 2007

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