Pour que le cancer n’ait pas votre peau

06 mai 2010

A noter sur vos tablettes ! Le 27 mai marquera la Journée nationale de prévention et de dépistage des cancers de la peau. Pour l’occasion et pour la 12ème année consécutivement, 1 000 dermatologues seront à la disposition du public, partout en France, dans des lieux de consultation accessibles à tous.

Dans le même temps, le laboratoire La Roche-Posay s’associe pour la première fois au Syndicat national des Dermatologues et des Vénérologues (SNDV), en soutenant un site de prévention des cancers de la peau.

Chaque année en France, 80 000 à 90 000 nouveaux cas de cancers cutanés sont diagnostiqués. Parmi eux, 7 000 relèvent de la catégorie des mélanomes, la forme la plus sévère de cancer de la peau. Une fois sur cinq, ce dernier apparait au niveau d’un grain de beauté.

Or le mélanome est responsable de près de 1 500 décès par an, en France. Plus que jamais, il est nécessaire de se tenir informé sur les risques potentiels que présentent vos grains de beauté… sans compter les risques directement liés à l’exposition aux rayons ultraviolets (UV), qu’ils proviennent du soleil… ou de sources artificielles.

La Journée nationale de prévention et de dépistage des cancers de la peau. Le 27 mai, des médecins bénévoles seront donc à votre disposition. Ils vous proposeront un examen gratuit de la peau, et répondront à toutes vos questions. La liste des centres de dépistage est disponible en cliquant ici. Rappelons que le mélanome est un cancer évitable et qu’à l’approche de l’été, quelques conseils ne sont pas superflus. Evitez par exemple des expositions au soleil trop longues – surtout entre 12h et 16h- et ne négligez pas l’importance des protections solaires. Evitez également le recours incontrôlé aux cabines UV, même pour « préparer » votre peau.

www.mesgrainsdebeaute.fr Ce tout nouveau site a pour vocation de vous aider à repérer les grains de beauté suspects. Sans approche scientifique, il sera surtout un outil pédagogique. Il vous permettra, dans un premier temps et de façon simple, de savoir si vous présentez un risque de mélanome. Mais naturellement, il ne saurait remplacer la consultation d’un dermatologue.

  • Source : SNDV, 6 mai 2010.

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