











Les hommes, sont plus exposés que les femmes à la mort par diabète, cancer, maladie cardiovasculaire… Voilà un argument fort pour les convaincre d’aller voir un médecin, au moins une fois par an.
Trop souvent encore, c’est après un événement de santé majeur ou un choc important qu’ils se décident à prendre rendez-vous. Le dépistage est une notion qui n’est pas encore ancrée dans leurs habitudes. A vous de les convaincre.
A partir de 35 ans, veillez à son cœur… Il doit régulièrement s’intéresser à son métabolisme : glycémie, acide urique ou cholestérol dans le sang par exemple. Proposez-lui donc de l’accompagner pour un examen biologique. Il est sportif ? C’est déjà ça ! Mais son médecin – à condition qu’il aille le voir – demandera tout de même qu’il passe une épreuve d’effort…
Dès la cinquantaine, faites en sorte qu’il voie son médecin généraliste chaque année pour un toucher rectal. Rapide, pas très agréable mais indolore, cet examen permet de détecter une hypertrophie bénigne de la prostate (HBP). Laquelle n’est pas si rare, puisqu’à cet âge déjà, un homme sur deux en souffre… Associé à un dosage du PSA (qui devra être fait en premier), cet examen permettra aussi de dépister un éventuel cancer de la prostate qui, lui, n’est pas bénin. C’est le premier cancer chez l’homme et la deuxième cause de mortalité par cancer après celui du poumon.
Source : Association française d’Urologie
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