











Grâce à une réaction biologique en chaîne, ces super-bactéries permettraient à notre système immunitaire de contrôler la prolifération de ces milliards de bactéries intestinales.
Cette action est essentielle. Elle évite en effet que les constituants de la flore intestinale ne deviennent pathogènes, provoquant alors des maladies intestinales. Maladies infectieuses comme les diarrhées par exemple, maladies inflammatoires comme la maladie de Crohn et d’autres affections inflammatoires chroniques, aux conséquences souvent très invalidantes
Il s’agit bien sûr de recherche fondamentale. Pourtant, les travaux de cette équipe conjointe Institut Pasteur/CNRS/INSERM à l’origine de cette découverte, pourraient demain ouvrir des pistes nouvelles pour l’élaboration de nouveaux traitements.
Source : INSERM, Institut Pasteur, CNRS, 4 novembre 2008
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