5 lectures bien-être pour les vacances

20 juillet 2016

Comme 3 Français sur 4, vous profitez de vos congés pour renouer avec le plaisir de la lecture ? Si tous les ouvrages, y compris le plus angoissant des polars, permettent de s’évader et de se détendre, certains ont un petit quelque chose en plus. Après les avoir refermés, on se sent apaisés, comme réconciliés avec soi-même et le monde entier. Notre sélection de lectures « feel good ».

Mange, prie, aime, d’Elizabeth Gilbert. Traduit dans une trentaine de langues, adapté au cinéma avec Julia Roberts dans le rôle-titre, c’est le livre « feel good » par excellence. Son auteur y raconte sa propre histoire, celle d’une renaissance à travers un voyage d’un an en Italie, en Inde et en Indonésie. Si tout le monde n’a pas la chance de pouvoir se lancer dans une telle aventure pour rebondir, ce best-seller reste une formidable source d’inspiration.

Complètement cramé, de Gilles Legardinier. Ne vous fiez ni au titre ni à la couverture du livre, aucun chat n’est maltraité dans ce roman. C’est le cœur du héros, veuf et vieillissant, qui est malmené. Alors pour échapper à son mal-être, l’homme d’affaire anglais plaque tout et se fait embaucher comme majordome en France. Un scénario propice aux belles rencontres humaines.

Le livre du voyage, de Bernard Werber. Cet essai porte bien son nom, c’est une véritable invitation au voyage intérieur. Mais rassurez-vous, rien d’ésotérique ni de barbant. Et si ce court ouvrage se lit d’une traite, sa petite musique apaisante résonne longtemps.

L’homme qui voulait être heureux, de Laurent Gounelle. Voici un livre de développement personnel… qui n’en n’est pas un. Si l’auteur cherche à nous faire profiter de son expérience qui l’a mené vers la sérénité et le bonheur, il le fait sous la forme d’un roman initiatique facile à lire, terriblement dépaysant et plein d’enseignements.

Presque la mer, de Jérôme Attal. Ecrivain, scénariste, parolier, Jérôme Attal a une imagination débordante et une infinie tendresse pour la nature humaine. Dans cette fable, il met en scène un village confronté à la désertification médicale. Prêts à tout pour faire venir un jeune médecin, ses habitants vont jusqu’à lui faire croire qu’il va s’installer dans une station balnéaire. Une fable rafraîchissante et réjouissante.

  • Source : Sondage Institut CSA pour Direct Matin du 12 au 14 mai 2015

  • Ecrit par : Aurélia Dubuc – Edité par : Dominique Salomon

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