











Le stéréotype – très masculin- selon lequel les filles auraient moins la bosse des maths que les garçons vient peut-être de trouver son origine. Une étude très sérieuse menée à l’Université de Chicago, a montré que certaines institutrices, fâchées avec les chiffres depuis leur enfance, transmettraient leur anxiété aux filles, mais pas aux garçons. Ce qui expliquerait, à long terme, pourquoi les femmes se destineraient moins aux carrières scientifiques ou d’ingénieurs. Dommage que Marie Curie ne soit plus là pour répondre. Il reste pourtant quelques femmes, Prix Nobel de physique ou de médecine, qui pourraient bien prendre la mouche !
Source : Proceedings of the National Academy of Science, 11 janvier 2009
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