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© Denis Val/shutterstock.com
Fins et peu pigmentés au niveau des avant-bras, durs et plus enfoncés sur le pubis… les poils sont sous la dépendance des hormones mâles. Ils sont en quelque sorte le vestige de notre vie archaïque. Ce temps ou l’homme préhistorique, qui vivait nu, se protégeait du froid grâce à une pilosité dense et recouvrant pratiquement tout le corps. Une époque aujourd’hui bien révolue. En réalité, l’un des rôles des poils est de nous protéger – très légèrement – contre les ultraviolets.
Au niveau des aisselles et des organes génitaux, les poils auraient non seulement un rôle protecteur (contre les irritations notamment), mais ils seraient aussi capables de capter les odeurs. En particulier les fameuses phéromones, ces substances qui jouent un rôle dans l’attraction sexuelle.
Quant aux poils du nez et des oreilles, ils filtrent le son, les odeurs et certaines poussières. Autre rôle non négligeable, ils nous alertent dès lors que quelque chose – insectes par exemple – pénètre dans ces orifices. Vous en conviendrez, les poils c’est un peu comme des antennes. Ils font en effet partie intégrante du sens du toucher, ils ont d’ailleurs des récepteurs tactiles qui leur sont propres.
Source : 800 questions au gynécoloque du Dr Alain Tamborini – Editions Marabout – Encyclopedia Universalis
Ecrit par : Dominique Salomon - Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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