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© Minerva Studio/Shutterstock.com
L’andropause existe bel et bien. Elle renvoie à la baisse de la testostérone chez l’homme liée au vieillissement. Mais le terme même d’« andropause » semble impropre. Les médecins préfèrent parler de Syndrome de Déficit en Testostérone (SDT). L’andropause au fond, n’a pas grand-chose à voir avec la ménopause, hormis quelques symptômes.
Tous les hommes connaissent une baisse progressive de leur taux de testostérone à partir de 30-35 ans. Mais seuls 6% des hommes de 30 à 80 ans sont concernés par l’andropause là où la ménopause touche toutes les femmes, et provoque un bouleversement hormonal. Autre différence, si les femmes « perdent » alors leur capacité reproductive, les hommes, pourront toujours avoir des enfants.
Certains choix de mode de vie peuvent accélérer le déclin de la testostérone. L’embonpoint est un des principaux facteurs de risque. Tout comme une consommation excessive d’alcool, une sédentarité ou une mauvaise qualité de sommeil. Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire pour éloigner le risque d’andropause.
Si vous rencontrez des soucis au quotidiens – notamment sur le plan sexuel – n’hésitez pas à consulter un spécialiste, de préférence un urologue-andrologue. Si les examens sanguins confirment le diagnostic d’andropause, des traitements adaptés pourront être mis en place : des traitements hormonaux substitutifs de la testostérone ont fait leurs preuves ! Les voies d’administration sont multiples : gels, implants, comprimés, patches ou injections.
Source : Association française d’Urologie
Ecrit par : Vincent Roche - Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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