Anti-inflammatoires : un malade sur trois se plaint de l’estomac !

15 avril 2002

Pratiquement un malade sur trois supporte mal les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) prescrits contre ses douleurs. Et d’après une étude de l’Institut Louis Harris Médical1 auprès de 4 000 français de plus de 18 ans, les répercussions gastriques des AINS classiques sont mal vécues par les malades. Qui s’en étonnerait ?

La nécessité de prendre simultanément d’autres médicaments est donc évidente. Dans 70% des cas, d’autres produits tels le paracétamol ou des antalgiques de plus en plus forts doivent être ajoutés pour calmer les douleurs rhumatologiques. Et surtout dans 82% des cas, des protections sont nécessaires pour éviter les effets secondaires gastriques les plus dangereux des AINS traditionnels.

Cet alourdissement de l’ordonnance est-il inévitable ? Plus depuis quelques mois, car nous disposons d’anti-inflammatoires qui, à efficacité au moins égale, sont respectueux de l’estomac !

  • Source : Association des Médecins de Montagne

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