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© Lopolo/Shutterstock.com
Un enfant qui court, s’arrête brusquement, se met à tousser fortement, les poumons sifflants, une sensation d’oppression sur la poitrine… Bien que marquante – voire fréquente – cette image ne signifie pas pour autant que cet enfant doit rester sur le bord du terrain. Elle signe un asthme d’effort, induit par l’exercice, la marque le plus souvent d’un asthme mal contrôlé.
« Grâce à des règles simples et quelquefois sous réserve de la prise préventive de certains médicaments, l’asthmatique peut pratiquer le sport qu’il aime », rappelle l’association Asthme et Allergies. Seule exception : la plongée sous-marine avec bouteilles. Et pour cause, en cas de crise, il serait impossible de s’administrer un traitement de secours par voie inhalée…
L’activité physique reste donc recommandée car elle contribue à l’acquisition d’un bon capital musculaire lequel « participe à la qualité de vie et au contrôle de toute maladie respiratoire, dont l’asthme », souligne le CHU de Toulouse sur son site internet. Par ailleurs, elle permet « de prévenir certains effets secondaires des médicaments contenant des corticoïdes. A l’image de la survenue d’une ostéoporose.
Marche à bonne allure, course à pied, vélo, natation et gymnastique font partie des disciplines particulièrement bénéfiques. Toutefois, notez bien quelques préconisations :
Et à la moindre question, demandez conseil à votre médecin.
Source : https://asthme-allergies.org, asthme et sport - www.chu-toulouse.fr, asthme et activité physique. Sites consultés le 2 juin 2022
Ecrit par : David Picot – Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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