











Il cible Escherichia coli, la bactérie responsable de la majorité de ces infections. Six candidats-vaccins en fait, ont été développés par une équipe de l’Université du Michigan. Administrés par voie nasale à des souris, trois d’entre eux ont donné de bons résultats. Des anticorps spécifiques de l’infection ont été sécrétés, et la quantité de bactéries présentes dans la vessie fortement réduite.
Si leur efficacité se confirme, il faudra cependant attendre encore quelques années… L’équipe à la base du projet est en attente de partenaires en recherche clinique. Lorsqu’ils auront trouvé, les essais chez l’Homme pourront enfin débuter.
Source : PLoS Pathogens, 18 septembre 2009
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