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Ne pas être parano, sans pour autant retarder le diagnostic. Lorsque l’on est jeune, et que certains symptômes apparaissent, le cancer est rarement envisagé comme cause la plus probable. Les médecins peuvent ne pas penser à un cancer face à des symptômes tels que la fatigue ou la douleur, retardant ainsi le diagnostic.
Pourtant, certains cancers peuvent être détectés tôt chez les jeunes adultes, augmentant les chances de succès du traitement. Il est donc crucial de connaître les signes et symptômes potentiels et de consulter un médecin en cas de doute.
Chez les jeunes adultes, pas de dépistage organisé. Cependant, dans certains cas, la plus grande attention est requise.
Ainsi, le dépistage du cancer du col de l’utérus est recommandé dès 25 ans. Les femmes doivent également être attentives à l’aspect de leurs seins et signaler tout changement à leur médecin. La mammographie n’est généralement pas recommandée avant 40 ans, sauf pour les femmes à haut risque.
Les personnes ayant des antécédents familiaux importants ou des mutations génétiques spécifiques peuvent présenter un risque accru de certains cancers (mélanome, cancer du sein, colorectal, thyroïde…).
Les symptômes du cancer chez les jeunes adultes peuvent être confondus avec ceux de maladies plus courantes. Il est important d’être vigilant en cas de :
En cas de symptômes persistants ou inquiétants, consultez un médecin. Il vous interrogera sur vos antécédents médicaux et vos symptômes, et effectuera un examen clinique. Des examens complémentaires (analyses sanguines, imagerie médicale, etc.) pourront être prescrits pour déterminer la cause de vos symptômes.
Source : American Cancer Society - www.gustaveroussy.fr/
Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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