











Le rôle des lymphocytes T à cet égard serait capital. Une étude menée conjointement par des chercheurs de l’INSERM et de l’Hôpital européen Georges Pompidou à Paris, vient de montrer que les patients présentant une forte concentration de lymphocytes T sont également moins affectés par des récidives. Leur durée de survie serait par ailleurs prolongée.
C’est, peut-être, la porte ouverte à des progrès importants. Rappelons en effet qu’avec 39 000 nouveaux cas par an, le cancer colorectal est en France le troisième par ordre de fréquence après les cancers du sein et de la prostate. Et chaque année 17 000 patients décèdent de la maladie.
Source : Journal of Clinical Oncology
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.