











Avec 62 245 cas diagnostiqués en 2005, c’est le plus fréquent de tous les cancers en France. Entre 2000 et 2005, son incidence a d’ailleurs augmenté de 8,5% chaque année. Sur la même période en revanche, son taux de mortalité a décru de 2,5%. Avec près de 10 000 décès par an, il n’en représente pas moins 10% des causes de mortalité par cancer, au premier rang des morts par cancers chez l’homme.
« Les grandes études randomisées –européennes et nord-américaines montrent que le dépistage organisé réduit significativement les taux de cancers ‘’non curables’’ mais génère aussi beaucoup de biopsies prostatiques inutiles », précisent les trois organismes. Dans ce contexte, l’association de plusieurs acteurs dans des actions de recherche pluridisciplinaires est bienvenue.
Recherche fondamentale et clinique, épidémiologie, sciences humaines et sociales… Autant de domaines à investir. Rendez-vous en avril 2010 pour les premiers résultats. Nous reviendrons très prochainement sur ce sujet, et notamment sur les différentes options de dépistage qui sont aujourd’hui proposées.
Source : Association pour la Recherche sur le Cancer (ARC), Institut national du Cancer (INCa), Ligue nationale contre le Cancer (LNCC), 15 octobre 2009
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