![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2025/02/LGieger-shutterstock.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2025/02/couverture.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2025/02/Perfect-Wave-shutterstock_2555203259.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2025/02/salle-de-sport-Branislav-Nenin1920.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2025/02/shutterstock_2208971541.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2025/02/Josep-Suria-shutterstock.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/themes/dsante/images/ds-empty.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2018/02/reins-crystal-light-1200-shutterstock.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2012/10/femme-boire-phovoir.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2016/04/selles-gpointstudio-1200-shutterstock.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2012/10/radio_2ok.jpg)
![](https://destinationsante.com/wp-content/uploads/2018/08/toilettes-FabrikaSimf-shutterstock1200.jpg)
Accueil » Médecine » Maladies infectieuses » Chikungunya : l’Institut Pasteur sur la voie d’un traitement préventif et curatif
Les scientifiques ont utilisé le plasma sanguin de près de 600 patients réunionnais qui avaient développé la maladie. Rappelons que l’Ile de la Réunion avait été fortement touchée par l’épidémie de Chikungunya de 2005-2006. Celle-ci avait affecté un tiers de la population.
« Lors de cette épidémie, les personnes ayant contracté la maladie, aujourd’hui guéries, ont produit des anticorps les immunisant contre le virus du Chikungunya », précise l’Institut Pasteur dans un communiqué. « Ces anticorps restent présents dans le plasma sanguin plusieurs années après l’infection ».
Les auteurs ont ainsi montré que le sérum des patients, tout comme leurs anticorps sont capables de bloquer l’infection et de guérir 100% des animaux infectés par le virus. L’effet préventif du traitement a également été prouvé, puisqu’aucune souris l’ayant reçu n’a développé la maladie. « Ces travaux ouvrent la voie à la mise au point rapide d’un premier traitement spécifique », concluent les chercheurs.
Source : Institut Pasteur, INSERM, Laboratoire français du Fractionnement et des Biotechnologies (LFB), 28 septembre 2009
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.
Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site Web vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Plus d'informations sur notre politique de cookies sur nos CGU.
Ce site utilise Google Analytics pour collecter des informations anonymes telles que le nombre de visiteurs sur le site et les pages les plus populaires.
Si vous désactivez ce cookie, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.