











Dans la revue Cur et Santé doctobre le Pr. Michel Aubier (service des maladies respiratoires de lHôpital Bichat, à Paris) nous apprend que la pollution atmosphérique, quon savait dangereuse pour lappareil respiratoire, retentit également sur la composition du sang et le fonctionnement du système cardio-vasculaire. Les polluants, issus à 80% des automobiles, augmentent la viscosité sanguine et favorisent la formation de caillots dans les artères et les veines.
On ne sait pas encore ce qui est le plus dangereux, entre des pics de pollution élevés mais brefs et un contact répété et prolongé avec les oxydes de carbone, lozone ou le dioxyde dazote. La pollution ne parait pas provoquer directement des troubles précis mais elle semble être un facteur de risque qui agit en sassociant à dautres.
Source : Dr Gullette, dans le JAMA du 21 mai 1997, cité par Impact Quotidien
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