Comment lutter contre le blues de la rentrée ?

La petite déprime de septembre, lorsque les vacances sont terminées et qu’il faut reprendre le chemin du travail, est bien naturelle. Mais elle ne doit pas être une fatalité.

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Même pour les personnes en pleine santé, septembre peut être une période difficile à vivre. Après les soirées à rallonge, il faut bien retourner au travail.  À cela s’ajoute une météo qui va en se dégradant et des jours qui raccourcissent petit à petit.  C’est ce que certains appellent le « blues post vacances » dont les principaux symptômes sont l’insomnie, le manque d’énergie, une irritabilité, le manque de concentration et l’anxiété.

Alors, comment lutter ?

Commencez par prolonger un peu l’été. Pensez « luminothérapie ». L’exposition à la lumière naturelle du matin générera différentes hormones qui permettront de lutter contre le stress et la dépression. Ensuite, dans la mesure où les beaux jours sont encore quelque peu présents, pourquoi ne pas donner à vos fins de journées un arrière-goût de vacances en allant par exemple boire un verre entre amis en terrasse après votre labeur ?

Continuez sur vos bonnes résolutions d’été.  Evitez notamment l’hyperconnexion – source de stress et d’anxiété qui a augmenté ces dernières années. Les experts recommandent d’apprendre à se déconnecter après les longues journées de travail.

Au travail, passez à l’action. Afin d’éviter que la fatigue ne se ré-installe, attelez-vous à la tâche sans procrastiner. Sinon, vous risquez d’entretenir un cercle vicieux de lassitude.

Pourquoi ne pas penser à vos prochaines vacances ? Réserver d’autres séjours, même s’il ne s’agit que d’un weekend, permettrait d’atténuer le blues du retour au travail.

Soigner le contenu de l’assiette

Autre chose, après les excès estivaux, reprendre une alimentation saine vous aidera à rester en forme. Pour cela, il faut bien évidemment continuer à faire le plein de vitamines et d’antioxydants en privilégiant une alimentation variée. Oubliez les préparations industrielles.

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  Source : Royal college of psychiatrists

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  Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Dorothée Duchemin