











Ce contraceptif (Qlaira) associe un estrogène naturel – qui une fois dans l’organisme, est identique à l’hormone féminine – à un progestatif spécifique doté d’une activité sélective sur l’utérus et d’une activité anti-androgénique. Utilisée pour la première fois en France, cette association permet non seulement d’inhiber efficacement l’ovulation mais aussi d’assurer une bonne tolérance générale.
De son côté, cet estrogène naturel « est en faveur d’une meilleure tolérance métabolique et vasculaire au long court pour la patiente » poursuit notre spécialiste. « Son association avec le dienogest – le fameux progestatif qui lui est associé, n.d.l.r. – garantit également un bon contrôle du cycle avec des règles plus courtes et moins abondantes ».
Quant au schéma de prise en continu sur 28 jours, il facilite l’observance et limite les risques d’oubli. Pour en savoir davantage, et si par exemple votre contraception orale ne vous satisfait pas pleinement, interrogez votre gynécologue.
Source : Interview du Dr Brigitte Letombe, Cercle européen de la Santé, Bruxelles.
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