











Le soleil protègerait en effet contre les cancers du côlon, de l’ovaire, de la prostate et du sein. Entre 1984 et 1995, le Dr Freeman et son équipe du National Cancer Institute à Besthesda, aux Etats-Unis, ont étudié plus de 420 000 certificats de décès recensés à travers 24 états américains. Ils ont établi une corrélation intéressante entre le degré d’ensoleillement et le développement de certains cancers.
Les auteurs ont ainsi découvert que la mortalité par cancer du côlon, de l’ovaire, de la prostate ou du sein était plus faible dans les régions les plus ensoleillées. En revanche, ils confirment bien que la mortalité associée aux cancers de la peau – hors mélanomes – est plus élevée dans ces zones où le soleil brille davantage.
Pour expliquer ces résultats, ils suggèrent un effet protecteur de la vitamine D, qui rappelons-le, peut être fabriquée par l’organisme sous l’influence des rayons ultraviolets. Mais selon eux, des études complémentaires sont toutefois indispensables afin d’infirmer ou de confirmer cette hypothèse. Affaire à suivre…
Source : Le Quotidien du Médecin, 12 avril 2002
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