











L’accès à des produits de qualité au meilleur prix passe nécessairement par l’information. Mais celle-ci doit se diversifier dans ses formats, et se personnaliser pour mieux toucher le consommateur. Exemple dans la grande distribution.
D’après le dernier sondage de la Coordination Consommateurs, un Français sur deux prend réellement la peine de lire les étiquetages nutritionnels des aliments. Ce n’est pas beaucoup ! Un des premiers problèmes, c’est peut-être la difficulté à comprendre et à hiérarchiser la kyrielle d’informations, parfois contradictoires.
Les nouvelles règlementations européennes à venir devraient en partie résoudre ce problème. En partie, car peu d’informations sont disponibles aujourd’hui sur le bon usage des aliments après leur achat. Que faire en cuisine de ce plat qui me dit contenir X % d’acides gras saturés ou prétend abaisser mon cholestérol ? Chez E.Leclerc par exemple, l’information franchit un autre palier. Outre une étiquetage nutritionnel qui s’affirme transparent, le distributeur a développé un espace dédié à l’information nutritionnelle sur le Net.
L’idée est simple et efficace : l’enseigne propose gratuitement un bilan nutritionnel complet et personnalisé. En quelques clics, l’internaute accède à une analyse détaillée et rigoureuse de son alimentation et de son mode de vie. Ce service corrige les repas, génère des menus et donne de vrais conseils. Conçu par des nutritionnistes et des diététiciens, il est le fruit de plusieurs années de recherches en milieu hospitalier. Depuis son lancement en janvier 2006, 90 000 personnes ont fait un bilan nutritionnel. Et 20 000 ont suivi le programme de « coaching » sur 15 jours qui l’accompagne…
Source : Les Rencontres de la Consommation. Coordination Consommateurs et Centres E.Leclerc. Paris, 29 septembre 2006 - Sondage de la CLCV auprès de 1200 Français, 2005-2006 - Bailly FOTOLIA
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