











Accueil » Famille » Gynécologie / Andrologie » Ejaculation précoce : et si c’était génétique ?
Le Pr Marcel Waldinger de l’Université d’Utrecht a suivi 181 adultes dont 89 présentaient des troubles de l’éjaculation précoce depuis leur premier rapport sexuel. Pendant un mois, les partenaires des participants devaient mesurer le temps qu’il fallait à leur homme pour éjaculer. Les chercheurs ont également mesuré le niveau de sérotonine de chacun.
Résultat, ils ont observé un taux de sérotonine bien plus faible chez les hommes souffrant d’éjaculation précoce. Plus précisément, ils ont découvert une variation du gène qui permet de transporter la sérotonine : le 5-HTTLPR. Cette étude contredit la théorie selon laquelle l’éjaculation précoce serait purement d’origine psychologique. A suivre…
Source : The Journal of Sexual Medicine, 8 octobre 2008
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