











Parce qu’il s’agit d’un jeune ou d’un sportif « dur au mal », parce que rien ne doit priver de la semaine de neige tant attendue et cher payée, il arrive ainsi que des fractures – ou des entorses sérieuses – passent inaperçues.
C’est la persistance d’une douleur, d’une gêne à la mobilité ou d’un gonflement qui conduisent chez le médecin après le retour au domicile. Confirmant son examen, il n’est pas exceptionnel que les radiographies montrent pour un genou douloureux une fracture du tibia, pour une cheville gonflée un arrachement de malléole ou, pour une épaule impotente, un arrachement osseux à l’extrémité supérieure de l’humérus. Dans tous les cas, ces lésions nécessitent un traitement de contention ou de chirurgie…
Après un traumatisme aux sports d’hiver, c’est sur place que vous devez consulter. Et de surcroît, vous devez absolument… suivre l’avis du médecin. C’est la condition d’une récupération ostéo-articulaire correcte. Et la garantie du plaisir de refaire du ski est bien souvent à ce prix.
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