L’ail, bon pour (presque) tout

01 septembre 2010

Antiseptique, anti-inflammatoire, anti-cholestérol, antioxydant, antiallergique et même… aphrodisiaque (mais là, gare à ses effets « tue l’amour » sur l’haleine) l’ail serait-il un remède miracle ? Apparu voici plus de 5 000 ans dans les steppes d’Asie centrale, il était utilisé comme antipoison dans la Rome antique. Depuis lors, son succès ne s’est jamais démenti.

Grâce à ses acides phénols, l’ail agit comme un antiseptique puissant du système digestif et de l’appareil respiratoire. Son effet fluidifiant sur le sang, sa capacité à dissoudre les petits caillots freineraient l’évolution de l’athérosclérose. Par ailleurs, ses principes actifs soufrés dilateraient les artères coronaires, contribuant à prévenir l’angine de poitrine. Consommé régulièrement, il aiderait à prévenir le cancer de l’estomac et serait efficace contre les vers intestinaux. Et naturellement mais est-il utile de le préciser, il fait fuir les vampires !

Attention toutefois aux excès. Consommé en trop grandes quantités, l’ail peut entraîner des brûlures gastriques. Et même en applications locales, le « remède » n’est pas anodin et peut provoquer des nécroses localisées de la peau…

  • Source : Phytothérapie, la santé par les plantes, Vidal et Sélection Reader’s Digest, 2010, 29,95€.

Destination Santé
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site Web vous trouvez les plus intéressantes et utiles.

Plus d'informations sur notre politique de cookies sur nos CGU.

Aller à la barre d’outils