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La GnRH (pour gonadotropin releasing hormone) est en fait une neurohormone – c’est-à-dire une hormone synthétisée par les neurones. Elle contrôle à travers un mécanisme complexe, la production des hormones sexuelles ovariennes et testiculaires.
Dans leur travail, Jacques Young et Anne Mantel (unité mixte INSERM – Université Paris Sud 11) ont identifié une mutation sur le gène codant la GnRH, et impliquée dans une maladie rare : l’hypogonadisme hypogonadotrophique congénital. Cette dernière se manifeste par un déficit de production des hormones sexuelles et touche près d’une personne sur 8 000. A terme, « nous espérons proposer à ces patients une prise en charge hormonale adaptée » concluent les auteurs.
Source : Institut national de la Santé et de la Recherche médicale, 17 juin 2009
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