La rentrée, c’est dur aussi pour eux

02 septembre 2011

Les vacances terminées, le retour à la « vraie vie », au bureau ou à l’école constitue une transition bien souvent difficile. Et pour votre compagnon à quatre pattes, chien, chat ou même lapin, la rentrée est aussi synonyme de changement de rythme. Perte d’appétit, désobéissance, abattement… Certains signes peuvent témoigner d’un certain mal-être chez votre animal. Pour diminuer le stress lié à ce retour au quotidien, voici quelques conseils.

Les congés estivaux ont bouleversé sa routine autant que la vôtre. Soit parce qu’il a passé quelques temps dans un chenil ou en pension. Ou surtout parce qu’il a eu la chance de vous suivre sur le chemin de vos vacances. Dans tous les cas, les animaux sont très sensibles au changement de rythme.

L’idéal est alors de préparer son retour au quotidien, avant votre propre rentrée. Mais si vous avez déjà repris le travail, il est toujours temps de prendre quelques mesures pour que Médor ou Félix vivent au mieux leur retour à la maison. Introduisez quelques nouveautés dans sa vie. Achetez-lui par exemple un nouveau jouet, ou changez son parcours de promenade. L’idée étant d’effacer le sentiment d’abandon ressenti par l’animal.

Votre chien ou votre chat peut manifester un stress dû à ces bouleversements en cessant de s’alimenter, en ne s’intéressant plus à ses jeux favoris ou en dormant toute la journée. S’il refuse de s’alimenter, agrémentez ses habituelles croquettes, de mets un peu plus appétissants, comme un peu de viande ou de poisson. Ce régime doit toutefois rester exceptionnel.

Laissez le temps à votre animal de se réhabituer à son ancien quotidien. Il se peut aussi que votre lapin se mette soudain à grignoter vos livres ou votre chien à faire des trous partout dans le jardin. La solution ? Occupez-vous de lui. Même si vous avez naturellement moins de temps à lui consacrer, essayez d’allonger la durée de sa promenade ou encore celle des séances de jeu et de câlin. Normalement, les signes d’anxiété devraient disparaître. Si toutefois ils persistent, consultez son vétérinaire.

  • Source : Fondation 30 millions d’Amis, 31 août 2011

Aller à la barre d’outils