











Selon un travail danois, le baby blues serait sous-estimé et pas assez pris en considération. Pourtant d’après les résultats d’une vaste étude, le risque de troubles mentaux après la naissance d’un premier enfant s’avère extrêmement élevé.
Au pays d’Hamlet, près d’une femme sur sept présenterait des signes de dépression. Lesquels selon le Pr Trine Munk-Olsen, de l’Université d’Aarrhus, peuvent s’aggraver dans le temps.
Ces constats émanent d’un travail débuté en 1973, et qui a concerné 630 373 femmes et 547 431 hommes devenus parents au fil du temps. Pour un pays de 5 millions d’habitants, ce sont des chiffres considérables ! Or soulignent les auteurs, « le risque de troubles mentaux sévères est plus élevé dans les trois premiers mois suivant l’accouchement ». Autre information, les pères semblent bien moins concernés par ces troubles. Et Olsen d’insister sur la nécessité « de mettre en place des programmes de suivi psychologique pour les mères qui viennent d’avoir leur premier enfant ».
Source : JAMA, 5 décembre 2006
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