Le ronflement, ce n’est pas une maladie !

29 novembre 2007

La première victime du ronflement, c’est… le couple ! Lorsque l’un des deux partenaires ronfle, l’autre naturellement, en subit les conséquences. Sommeil perturbé, nuits abrégées, fatigue, tension… Pour plus des deux tiers des Français, le ronflement peut être source de conflits.

En France selon une enquête IPSOS, plus d’un foyer sur deux est affecté. Avec une forte proportion d’hommes, puisqu’ils représentent 64% des ronfleurs contre 36% pour les femmes.

A l’analyse, il s’avère que près de quatre sondés sur dix considèrent le ronflement comme une maladie. Or il n’en est rien ! Le ronflement est lié en réalité, à la mise en vibration des tissus mous du voile du palais. Lorsqu’ils s’affaissent, ils gênent la bonne circulation de l’air au cours de la respiration. En phase de sommeil, le tonus musculaire se relâche au niveau de la gorge et rétrécit la voie d’accès au pharynx. Ainsi les flux d’air s’accélèrent-ils pour faciliter la respiration, générant des vibrations sonores des tissus mous à l’arrière de la gorge.

  • Source : Etude Ipsos pour Douce Nuit réalisée en juin 2007 auprès de 1 000 personnes de plus de 15 ans représentatives de la population française

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