











Accueil » Santé Publique » Travail » Le travail, c’est la fatigue ?
Sur une période d’un an, un salarié en bonne santé sur dix traverse au moins une phase de fatigue prolongée. Aux Pays-Bas en tout cas…
Le Dr Ute Bültmann et son équipe de l’Université de Maastricht ont suivi pendant trois ans, plus de 8 000 salariés de 45 entreprises privées ou publiques. A l’issue de la première année, 10% des hommes et 14% des femmes estimaient avoir traversé une période de fatigue intense.
Les sondés proposent à cela deux raisons majeures : le manque de liberté dans l’organisation de leur travail et l’absence de soutien collégial. D’autres explications ont également été avancées. Elles diffèrent toutefois d’un sexe à l’autre.
Chez les hommes, un travail physiquement et/ou intellectuellement « prenant » mais aussi le manque de soutien de la part de la hiérarchie constituent autant de sources de fatigue. Les femmes en revanche, citent plus volontiers les conflits. Enfin, les auteurs ont relevé un autre facteur de risque : le surpoids. Celui-ci multiplierait le risque de fatigue par 1,3 chez les hommes. Et par 3 chez les femmes.
Source : Netherlands Organisation for Scientific Research, 18 avril 2002
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.
Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site Web vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Plus d'informations sur notre politique de cookies sur nos CGU.
Ce site utilise Google Analytics pour collecter des informations anonymes telles que le nombre de visiteurs sur le site et les pages les plus populaires.
Si vous désactivez ce cookie, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.