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« C’est une nouvelle manière de glisser sur l’eau », présente la Fédération française de Voile (FFV). Et ce, à partir d’un foil, qui en mécanique des fluides se définit comme une « aile profilée qui se déplace dans l’eau et transmet une force de portance à son support ». Sur sa planche équipée d’un foil donc, le pratiquant avance ainsi sans que ladite planche ne touche l’eau. Le tout, en ne comptant que sur un seul gréement : une aile gonflable et compacte.
« Grâce à cette aile qui offre suffisamment de puissance, de vitesse et de portance, le principe de base est de pouvoir foiler au-dessus de l’eau dans du vent très léger », complète la FFV. Laquelle met en avant « ce sport de glisse qui permet de s’amuser et également de faire découvrir l’élément ‘vent’ aux amateurs de sports nautiques n’ayant jamais fait de windsurf ou de kitesurf, ni même vécu une quelconque expérience dans les vagues ».
Le wing foil est ainsi présenté comme « simple, accessible à tous ». Sur le plan musculaire, il apparaît extrêmement complet, notamment au niveau du renforcement des muscles du thorax (pectoraux, abdominaux…), des épaules et encore des bras. Mais aussi des jambes, à travers une quête incessante d’équilibre. Sans oublier l’aspect mental et l’indescriptible sentiment de liberté qu’il procure, entre vent et océan.
Source : Fédération française de voile (FFV) - Juillet 2022
Ecrit par : David Picot – Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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