











Accueil » Médecine » Neurologie » L’épilepsie en mal de suivi ?
©Phovoir
En France, 500 000 patients souffrent d’épilepsie. Invalidante et douloureuse, cette affection chronique cérébrale est bien décrite par la science. Mais « reste insuffisamment prise en charge en France », dénoncent d’une même voix des spécialistes en neurologie pédiatrique.
Maladie neurologique, l’épilepsie se traduit par des convulsions douloureuses à répétition mais aussi des pertes de conscience. Autant de troubles invalidants. Mais le diagnostic et le suivi restent sérieusement carencés en France, dénoncent la Société française de neurologie (SFN) et la Société française de pédiatrie (SFNP). Mais quels obstacles freinent la qualité des soins dédiés à la prise en charge de l’épilepsie, deuxième maladie neurologique en France ?
Face à cette problématique, la SFN et la SFNP « demandent aux pouvoirs publics d’organiser une vraie filière de prise en charge des patients, favorisant ainsi le recours à l’EEG par les neurologues ».
Source : Société française de neurologie (SFN), Société française de pédiatrie (SFNP), le 21 octobre 2015
Ecrit par : Laura Bourgault : Edité par : Dominique Salomon
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.
Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site Web vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Plus d'informations sur notre politique de cookies sur nos CGU.
Ce site utilise Google Analytics pour collecter des informations anonymes telles que le nombre de visiteurs sur le site et les pages les plus populaires.
Si vous désactivez ce cookie, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.