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Il existe trois catégories de pleurs :
Ainsi, la recherche a depuis longtemps montré que les pleurs émotionnels permettaient à l’organisme de produire de l’ocytocine, et des endorphines, c’est à dire des substances soulageant la douleur. Celles-ci apaisent la douleur physique et psychologique. Comme le rappelle Leo Newhouse du Beth Israel Deaconess Medical Center sur le blog de la Harvard Medical School, « pleurer est une valve de sécurité importante ». En effet, « retenir ses émotions peut être mauvais pour la santé. Les études ont démontré que retenir ses émotions était associé à un système immunitaire moins efficace, à davantage de problèmes de santé cardiovasculaire, à de l’hypertension et des troubles mentaux comme le stress, l’anxiété ou la dépression ».
Néanmoins, il peut arriver que les pleurs deviennent un problème. C’est le cas lorsque ceux-ci sont très fréquents et/ou qu’ils surviennent sans raison apparente. C’est aussi un souci quand pleurer empêche de mener ses activités quotidiennes.
A l’inverse, n’être pas du tout capable de pleurer, même quand on en a besoin peut être inquiétant. Certaines catégories de dépression peuvent entraîner ce trouble. Si vous êtes dans une de ces situations, n’hésitez pas à consulter votre médecin traitant.
Source : Medical News Today – health.harvard.edu/
Ecrit par : Dominique Salomon - Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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