











Elle pointe notamment du doigt un freinage « pas toujours satisfaisant sur sol mouillé ». Elle demande aussi aux pouvoirs publics « de renforcer les obligations d’éclairage en imposant que les dispositifs soient fixés à demeure sur les produits ».
Les professionnels pour leur part, sont invités à ne livrer que des vélos entièrement montés et réglés. Et celà « y compris en cas de vente à distance. Les notices d’emploi doivent décrire précisément le fonctionnement de l’assistance (ses modalités de déclenchement et de coupure), avertir des risques de court-circuit et de surchauffe en cas de choc sur les batteries ». Bref, il y a beaucoup de travail sur la planche car ces modes d’emploi (pas toujours rédigés en France) sont parfois libellés dans un style hermétique…
Les acheteurs aussi ont droit à quelques recommandations judicieuses. La CSC les incite par exemple, à demander au vendeur avant tout achat, des précisions sur les caractéristiques des différents types d’assistance. Ils doivent aussi – et ce n’est pas toujours évident – essayer le vélo qu’ils envisagent d’acheter, pour bien appréhender son comportement. Elle leur recommande enfin comme pour toute bicyclette, « de porter un casque, et de respecter strictement le code de la route ». Elémentaire…
Source : CSC, 14 juin 2010
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