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C’est un constat de la Société française de Rhumatologie (SFR), qui a réalisé une étude sur le sujet entre janvier 2007 et mars 2008. « L’objectif était de déterminer les caractéristiques cliniques de ces patients, l’importance de leur gène, leur niveau de douleur ainsi que le retentissement de la lombalgie sur leur activité, leur humeur et leur qualité de vie ».
Il en ressort que leur niveau de douleur est aussi important chez les séniors que chez les jeunes adultes, ce qui ne doit pas surprendre. En revanche, « les patients âgés sont plus résignés ». Comme l’ont révélé des examens radiologiques, l’incidence des troubles statiques chez ces derniers serait également élevée : 30% souffriraient de scoliose et 90% d’une atrophie des muscles qui supportent la colonne vertébrale !
A la lumière de ce travail, la SFR alerte les médecins généralistes « sur la nécessité de faire de la lombalgie du sujet âgé une priorité ». Elle « souhaite également que des programmes de rééducation active soient plus souvent envisagés » pour ces patients. Des recommandations marquées au coin du bon sens… mais qui ne vont pas satisfaire les chantres de la maîtrise comptable des dépenses de santé.
Source : Société française de Rhumatologie, décembre 2008
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