











Aujourdhui, les femmes ont encore plus du tiers de leur existence à vivre après la ménopause. On connaît lintérêt de certains traitements hormonaux pour prévenir lostéoporose, cette perte de masse osseuse responsable de la fragilisation des os et de nombreuses fractures. Mais les d’strogènes. sont plus ou moins bien tolérés et acceptés par les femmes – retour des règles, crainte de cancers du sein ou de lutérus… -. On travaille donc, actuellement, à la mise au point de médicaments qui agiraient spécifiquement sur le système cardio-vasculaire ou les os, mais sans action hormonale.
Source : OMS, Rapport de la santé dans le monde 1997
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