











Le tabagisme induit un phénomène quasi-permanent d’oxydation. Ce stress oxydatif est responsable d’une baisse de la qualité des œstrogènes, l’hormone féminine. Ce processus altère donc le fonctionnement ovarien par son effet anti-œstrogène. C’est pourquoi les fumeuses sont ménopausées en moyenne, un à deux ans avant les non-fumeuses.
La bonne nouvelle tient toutefois aux bénéfices… du sevrage. Le simple fait d’arrêter de fumer facilite en quelque sorte, le retour à la situation antérieure. Et permet d’éviter l’apparition d’une ménopause précoce.
Source : Interview de Michèle Pelletier, dermatologue à Toulon, 31 mai 2010 INPES, 31 mai 2010
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