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« Tout est mini dans notre vie » chantait Jacques Dutronc. Aucune raison que les cocottes ne dérogent à la règle. Carrées, ovales ou rondes. En céramique, en fonte, en terre cuite, en verre voire en silicone, elles sont beaucoup plus pratiques à utiliser que leurs ancêtres. Plus légères aussi.
Cependant, et contrairement aux cocottes en fonte de plusieurs kilos, la version « mini », n’est pas vraiment adaptée aux cuissons longues. Ne comptez pas laisser mijoter votre popote plusieurs heures au four… Réservez la pour des préparations courtes, comme un petit gratin dauphinois par exemple.
Gros avantage des mini-cocottes, la présentation. Vos convives, servis à l’assiette, auront cette délicieuse impression d’être au restaurant. Le couvercle à soulever par chacun révélant les mystères du plat. Et pour celles et ceux qui ont conservé leur âme d’enfant, c’est un peu comme jouer à la dînette. Attention cependant. N’oubliez pas de les prévenir. Le plat, au sortir du four, sera brûlant. Attendez donc avant de servir. Surtout que, dans leur contenant fermé, vos mets conserveront plus longtemps leur chaleur.
Côté préparation, laissez aller votre imagination. Si les mini-cocottes permettent de reproduire en tout petit les classiques de la gastronomie, comme le hachis parmentier, rien ne vous empêche d’innover. Mais surtout n’oubliez pas d’adapter le temps de cuisson.
Une dernière chose pour les plus récalcitrants : la vaisselle ! Eh oui, dans la mesure où la dégustation se fait directement dans le plat, finies les assiettes et la maxi cocotte à nettoyer. Ce sera d’autant plus facile si vous choisissez la version en silicone. Alors, convaincu ?
Source : Le bon choix pour cuisiner, Juliette Pouyat, Thierry Souccar éditions, 167 pages, 14,95 euros
Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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