











En France, mais aussi aux Etats-Unis et au Canada, des voix se font actuellement entendre pour réduire le recours à la radiographie de la colonne vertébrale et particulièrement de la colonne lombaire. Un récent rapport de lINSERM suggère que la pratique systématique de ces radios devrait être remise en cause, et ces examens réservés à létude « des traumatismes et des troubles statiques ainsi quau bilan initial de certaines maladies rhumatismales ou au suivi postopératoire de certaines affections ». Les Canadiens estiment pour leur part que la radio lombaire est trop peu spécifique et présente un rapport coût-efficacité défavorable. Mais apparemment, personne ne prend argument de lintérêt quil pourrait y avoir à diminuer les doses de rayonnement infligées aux malades de manière parfois injustifiée…
Source : Impact Médecin N°465, 15 octobre 1999
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