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« Naître un 24 décembre, c’est une vraie arnaque », « La bûche faisait office de gâteau d’anniversaire quand j’étais petite », « J’ai toujours eu deux fois moins de cadeaux ». Voilà quelques-uns des témoignages recueillis en préparant cet article. Tous expriment le même sentiment d’injustice et aboutissent à la même conclusion : la nécessité de faire de Noël et de l’anniversaire deux événements bien distincts, même quand ils ont lieu le même jour ou à 24h d’intervalle.
Symboliquement d’abord. Chaque fête a son caractère propre, que l’on soit ou non croyant. Célébrer la magie de l’esprit de Noël est une chose, mettre à l’honneur celui qui fête son anniversaire en est une autre. Ne dit-on d’ailleurs pas que c’est SA journée ? La question a aussi son importance concernant le nombre de cadeaux à ouvrir. Les adolescents et les adultes comprennent sans peine qu’il vaut parfois mieux avoir un seul et gros cadeau que plein de petits paquets à ouvrir. Les enfants, eux, prennent un plaisir quasiment aussi vif à déballer leurs présents qu’à jouer ensuite avec leur contenu.
Concernant l’organisation des deux fêtes, tout dépend de vos habitudes familiales. Si vous ouvrez les cadeaux de Noël le 25 au matin, faites-lui souffler ses bougies d’anniversaire et offre-lui, la veille au soir, ses cadeaux d’anniversaire, emballés dans du papier qui ne soient pas connoté « Noël »… Ou inversement. Vous pouvez aussi laisser s’écouler quelques jours entre sa vraie date de naissance et sa fête d’anniversaire. Mais dans tous les cas, prévoyez le goûter avec les copains en période scolaire. Durant les fêtes de fin d’année, beaucoup risquent d’être absents.
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