











Les auteurs ont en effet noté que les neurones de patients décédés des suites de cette maladie renfermaient de fortes concentrations de fer.
« L’accumulation de (ce dernier) entraîne un stress oxydatif qui détruit notamment les lipides et les protéines, entraînant la mort cellulaire » précise Etienne Hirsch, directeur de l’Unité INSERM mixte 67 « Neurologie et Thérapeutique expérimentale » à l’origine de ce travail. « Nous avons donc suspecté que l’excès de fer pouvait être impliqué dans la dégénérescence des neurones chez les malades ».
Pour clarifier cela, les chercheurs ont inhibé chez des rongeurs le transporteur chargé d’importer le fer dans les cellules nerveuses. Le résultat semble prometteur : « les souris (ainsi traitées) étaient deux fois moins touchées par la maladie de Parkinson ». Il s’agit bien sûr de recherche fondamentale, d’autres travaux devront venir confirmer ou infirmer cette conclusion.
Source : INSERM, 27 octobre 2008
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