Pas assez confidentielles, les pharmacies ?

30 mars 2005

Regards croisés“. C’est le nom d’une enquête qui vise à mieux comprendre la relation qui s’instaure entre un patient atteint de cancer et son pharmacien. Ses résultats viennent d’être rendus publics lors du salon Pharmagora, à Paris.

Axé sur les cancers du sein et de la prostate, ce travail a été réalisé auprès de 800 pharmaciens et patients. Il montre notamment, que 86% des pharmaciens interrogés ont le sentiment de jouer un rôle d’écoute vis-à-vis des patients atteints d’un cancer.

Deux constats principaux ressortent de ce travail. Tout d’abord, les femmes parleraient plus facilement que les hommes de leur maladie et de leurs traitements. Une tendance également vérifiée pour ce qui concerne la demande de conseils et d’informations.

L’enquête met aussi en évidence une gêne des patients, comme des pharmaciens d’ailleurs, à parler de cancer à l’intérieur de l’officine. A cause principalement d’un manque de confidentialité de ces dernières. En fait, plus d’un pharmacien sur deux (57%) ressent cette gêne. Contre 46% des patients. Il y a là sans doute, une large marge d’amélioration…

  • Source : Mayo Clinic, 23 mars 2005

Destination Santé
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