











Placé sous l’égide de l’Institut de Veille sanitaire (InVS), il assurera notamment des missions d’expertise, d’alerte, de formation et d’assistance technique aux laboratoires d’analyse virologique.
Plus de 40 types de HPV ont déjà été identifiés comme susceptibles d’infecter les muqueuses génitales. Mais la liste n’est pas exhaustive. D’où l’intérêt de ce CNR, qui « doit permettre de pister d’éventuelles émergences de nouveaux génotypes ou de variants des virus présents dans les vaccins » précise l’Institut Pasteur.
Les travaux du CNR HPV devraient fournir des données utiles à l’InVS pour évaluer la politique vaccinale. Rappelons que chaque année en France, plus de 3 000 femmes contractent un cancer du col de l’utérus. Et dans plus de 99% des cas elles ont été infectées par un papillomavirus humain (HPV)…
Source : Institut Pasteur, 21 janvier 2009
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